À Paul Meurice.

H.-H., 23 9bre.

Je vous envoie ceci pour vous, je vous l’envoie aussi pour Michelet. Le devoir criait. J’ai obéi. Ceci gâterait les affaires de Ruy Blas si elles n’étaient pas déjà gâtées. Vous savez que M. Chilly fait contre Hernani et Ruy Blas des mots que Dumas envoie au Figaro. J’en suis à recevoir de ces coups de pied-là. Je ne me croyais pourtant pas encore mourant. Ô que c’est doux un ami comme vous !

V.

Écrivez-moi si ceci vous est bien arrivé. Nous sommes dans un temps de poste coupée de police.

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