À Madame Victor Hugo. À ses fils.

H.-H., 23 novembre 1867.

Je vous envoie un mot in haste, mes bien-aimés. Vous trouverez sous ce pli du nouveau. Je n’ai pu tenir plus longtemps à l’indignation. Je jette ce cri. Lisez.

Hernani est compromis et Ruy Blas est interdit ; cela ne fera pas lever l’embargo. Mais avant tout le devoir.

Vous distribuerez les exemplaires selon les indications.

J’envoie à Georges le sien.

J’espère que vous serez contents.

Ma bien aimée femme, je veux absolument que tes beaux yeux deviennent bons. C’est leur devoir. Entends-tu ?

Il y a une escroquerie de Chenay qui se couve à l’horizon. Je la flaire et je vous la signale.

Tendre embrassement.

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