Prière

Oh ! quand tu reviendras rêver sur la montagne,

Bounaberdi ! regarde un peu dans la campagne

Ma tente qui blanchit dans les sables grondants ;

Car je suis libre et pauvre, un arabe du Caire,

Et quand j’ai dit : Allah ! mon bon cheval de guerre

Vole, et sous sa paupière a deux charbons ardents !

Novembre 1828.

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