C’était encore triste et silencieux, ce pays-là, et pourtant cela reposait la vue, après tous ces sables du désert.
Au village de Poupoubal sur le Diakhallémé, le navire s’arrêta, ne pouvant remonter plus haut.
Les passagers furent débarqués, pour attendre les canots ou les pirogues qui devaient les conduire jusqu’à leur destination.