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TACITE. Erreur de cet auteur prouvée, XXII, 22. Son ouvrage sur les mœurs des Germains est court, parce que voyant tout, il abrége tout. On y trouve les codes des lois barbares, XXX, 2. Appelle comites, ce que nous appelons aujourd’hui vassaux, XXX, 4, 10.

TACITE, empereur. Loi sage de ce prince, au sujet du crime de lèse-majesté, XII, 15.

Talion (la loi du). Est fort en usage dans les états despotiques : comment on en use dans les états modérés, VI, 19. Voyez Peines du talion.

TAO. Conséquences affreuses qu’il tire du dogme de l’immortalité de l’âme, XXIV, 19.

TARQUIN. Comment monta sur le trône : changements qu’il apporta dans le gouvernement : causes de sa chute, XI, 13. L’esclave qui découvrit la conjuration faite en sa faveur fut dénonciateur seulement, et non témoin, XII, 15.

Tartares. Leur conduite avec les Chinois est un modèle pour les conquérants d’un grand état, X, 15. Pourquoi obligés de mettre leur nom sur leurs flèches, XII, 24. Ne lèvent presque point de taxes sur les marchandises qui passent, XIII, 11. Les pays qu’ils ont désolés ne sont pas encore rétablis, XVIII, 3. Sont barbares et non sauvages, XVIII, 11. Leur servitude, XVIII, 19. Devraient être libres ; sont cependant dans l’esclavage politique : raisons de cette singularité, ibid. Quel est leur droit des gens. Pourquoi ayant des mœurs, si douces entre eux, ce droit est si cruel, XVIII, 20. La succession appartient, chez eux, au dernier des mâles : raison de cette loi, XVIII, 21. Ravages qu’ils ont faits dans l’Asie, et comment ils y ont détruit le commerce, XXII, 4. Les vices de ceux de Gengiskan venaient de ce que leur religion défendait ce qu’elle aurait dû permettre, et de ce que leurs lois civiles permettaient ce que la religion aurait dû défendre, XXIV, 14. Pourquoi n’ont point de temple : pourquoi si tolérants en fait de religion, XXV, 3. Pourquoi peuvent épouser leurs filles, et non pas leurs mères, XXVI, 14.

Taxes sur les marchandises. Sont les plus commodes et les moins onéreuses, XIII, 7. Il est dangereux de taxer le prix des marchandises, XXII, 7. — sur les personnes. Dans quelle proportion doivent être imposées, XIII, 7. — sur les terres. Bornes qu’elles doivent avoir, ibid.

Témoins. Pourquoi il en faut deux pour faire condamner un accusé, XII, 4. Pourquoi le nombre de ceux qui sont requis par les lois romaines, pour assister à la confection d’un testament, fut fixé à cinq, XXVII, 1. Dans les lois barbares, autres que la salique, les témoins formaient une preuve négative complète, en jurant que l’accusé n’était pas coupable, XXVIII, 13. L’accusé pouvait, avant qu’ils eussent été entendus en justice, leur offrir le combat judiciaire : quand et comment ils pouvaient le refuser, XXVIII, 26. Déposaient en public : abrogation de cet usage, XXVIII, 34. La peine contre les faux témoins est capitale en France : elle ne l’est point en Angleterre : motifs de ces deux lois, XXIX, 11.

Temples. Leurs richesses attachent à la religion, XXV, 3. Leur origine, ibid. Les peuples qui n’ont point de maisons, ne bâtissent point de temples, ibid. Les peuples qui n’ont point de temples, ont peu d’attachement pour leur religion, ibid.

Terrain. Comment sa nature influe sur les lois, XVIII, 1. Plus il est fertile, plus il est propre à la monarchie, ibid.

Terre. C’est par le soin des hommes qu’elle est devenue plus propre à être leur demeure, XVIII, 7. Ses parties sont plus ou moins peuplées, suivant les différentes productions, XXIII, 14.

Terre salique. Ce que c’était chez les Germains, XVIII, 22. Ce n’était point des fiefs, ibid.

Terres. Quand peuvent être également partagées entre les citoyens, V, 5. Comment doivent être partagées entre les citoyens d’une démocratie, V, 6. Peuvent-elles être partagées également dans toutes les démocraties ? V, 7. Est-il à propos, dans une république, d’en faire un nouveau partage, lorsque l’ancien est confondu ? VII, 2. Bornes que l’on doit mettre aux taxes sur les terres, XIII, 7. Rapport de leur culture avec la liberté, XVIII, 1 et 2. C’est une mauvaise loi, que celle qui défend de les vendre, XXII, 15. Quelles sont les plus peuplées, XXIII, 14. Leur partage fut rétabli, à Rome, par Servius Tullius, XXVII, 1. Comment furent partagées dans les Gaules, entre les Barbares et les Romains, XXX, 7.

Terres censuelles. Ce que c’était autrefois, XXX, 15.

Tertullien, sénatus-consulte. Cas dans lesquels il accorda aux mères la succession de leurs enfants, ibid.

Testament. Les anciennes lois romaines, sur cette matière, n’avaient pour objet que de proscrire le célibat, XXIII, 21. On n’en pouvait faire, dans l’ancienne Rome, que dans une assemblée du peuple : pourquoi, XXVII, I. Pourquoi les lois romaines accordaient-elles la faculté de se choisir, par testament, tel héritier que l’on jugeait à propos, malgré toutes les précautions que l’on avait prises pour empêcher les biens d’une famille de passer dans une autre, ibid. La faculté indéfinie de tester fut funeste à Rome, ibid. Pourquoi, quand on cessa de les faire dans les assemblés du peuple, il fallut y appeler cinq témoins, ibid. Toutes les lois romaines, sur cette matière, dérivent de la vente que le testateur faisait autrefois, de sa famille, à celui qu’il instituait son héritier, ibid. Pourquoi la faculté de tester était interdite aux sourds, aux muets et aux prodigues, ibid. Pourquoi le fils de famille n’en pouvait pas faire, même avec l’agrément de son père, en la puissance duquel il était, ibid. Pourquoi soumis, chez les Romains, à de plus grandes formalités, que chez les autres peuples, ibid. Pourquoi devait être conçu en paroles directes et impératives. Cette loi donnait la faculté de substituer ; mais ôtait celle de faire des fidéicommis, ibid. Pourquoi celui du père était nul, quand le fils était prétérit ; et valable, quoique la fille le fût, ibid. Les parents du défunt étaient obligés autrefois, en France, d’en faire un à sa place, quand il n’avait pas testé en faveur de l’église, XXVIII, 41. Ceux des suicides étaient exécutés à Rome, XXIX, 9.

Testament in procinctu. Ce que c’était : il ne faut pas le confondre avec le testament militaire, XXVII, 1.

Testament militaire. Quand, par qui, et pourquoi il fut établi, XXVII, 1.

Testament per œs et libram. Ce que c’était, XXVII, 1.

Thébains. Ressource monstrueuse à laquelle ils eurent recours, pour adoucir les mœurs des jeunes gens, IV, 8.

THÉODORE LASCARIS. Injustice commise sous son règne, sous prétexte de magie, XII, 5.

THÉODORIC, roi d’Austrasie. Fit rédiger les lois des Ripuaires, des Bavarois, des Allemands et des Thuringiens, XXVIII, 1,

THÉODORIC, roi d’Italie. Comment adopte le roi des Hérules, XVIII, 28. Abolit le combat judiciaire chez les Ostrogoths, XXVIII , 18.

THÉODOSE, empereur. Ce qu’il pensait des paroles criminelles, XII, 12. Appela les petits-enfants à la succession de leur aïeul maternel, XXVII, 1.

Théologie. Est-ce cette science, ou la jurisprudence, qu’il faut traiter dans un livre de jurisprudence ? D. II, art. Célibat.

Théologiens. Maux qu’ils ont faits au commerce, XXI, 20.

THÉOPHILE, empereur. Pourquoi ne voulait pas, et ne devait pas vouloir, que sa femme fit le commerce, XX, 19.

THÉOPHRASTE. Son sentiment sur la musique, IV, 8.

THÉSÉE. Ses belles actions prouvent que la Grèce était encore barbare de son temps, XXIV, 18.

THIBAULT. C’est ce roi qui a accordé les coutumes de Champagne, XXVIII, 45.

THIMUR. S’il eût été chrétien, il n’eut pas été si cruel, XXIV, 3.

THOMAS MORE. Petitesse de ses vues en matière de législation, XXIX, 19.

Thuringiens. Simplicité de leurs lois : par qui furent rédigées, XXVIII, I. Leurs lois criminelles étaient faites sur le même plan que les Ripuaires, XXVIII, 13. Leur façon de procéder contre les femmes adultères, XXVIII, 17.

TIBÈRE. Se donna bien de garde de renouveler les anciennes lois somptuaires de la république, à laquelle il substituait une monarchie, VII, 4. Par le même esprit, il ne voulut pas qu’on défendit aux gouverneurs de mener leurs femmes dans les provinces, ibid. Par la vue de la même politique, il maniait, avec adresse, les lois faites contre l’adultère, VII, 13. Abus énorme qu’il commit dans la distribution des honneurs et des dignités, VIII, 7. Attacha aux écrits la peine du crime de lèse-majesté, XII, 13. Raffinement de cruauté de ce tyran, XII, 14. Par une loi sage, il fit que les choses qui représentaient la monnaie, devinrent la monnaie même, XXII, 2. Ajoutait à la loi poppienne, XXIII, 21.

TITE-LIVE. Erreur de cet historien, VI, 15.

Tockembourg, X, 6.

Toison d’or. Origine de cette fable, XXI, 7.

Tolérance. L’auteur n’en parle que comme politique, et non comme théologien, XXV, 9. Les théologiens même distinguent entre tolérer une religion et l’approuver, ibid. Quand elle est accompagnée de vertus morales, elle forme le caractère le plus sociable, XXIV, 8. Quand plusieurs religions sont tolérées dans un état, on les doit obliger à se tolérer entre elles, XXV, 9. On doit tolérer les religions qui sont établies dans un état, et empêcher les autres de s’y établir. Dans cette règle n’est point comprise la religion chrétienne, qui est le premier bien, XXV, 10. Ce que l’auteur a dit sur cette matière est-il un avis, au roi de la Cochinchine, pour fermer la porte de ses états à la religion chrétienne ? D. II, art. Tolérance.

Tonquin. Toutes les magistratures y sont occupées par des eunuques, XV, 10. C’est le physique du climat qui fait que les pères y vendent leurs filles, et y exposent leurs enfants, XXIII, 10.

Toulouse. Cette comté devint-elle héréditaire sous Charles Martel ? XXXI, 28.

Tournois. Donnèrent une grande importance à la galanterie, XXVIII, 22.

TRAJAN. Refusa de donner des rescrits : pourquoi, XXIX, 17.

Traitants. Leur portrait. XI, 18. Comment regardés autrefois en France ; danger qu’il y a de leur donner trop de crédit, ibid. Leur injustice détermina Publius Rutilius à quitter Rome, ibid. On ne doit jamais leur confier les jugements, ibid. Les impôts qui donnent occasion au peuple de frauder, enrichissent les traitants, ruinent le peuple, et perdent l’État, XIII, 8. Tout est perdu, lorsque leur profession, qui ne doit être que lucrative, vient à être honorée, XIII, 20. Les richesses doivent être leur unique récompense, ibid.

Traité. Ceux que les princes font par force, sont aussi obligatoires que ceux qu’ils font de bon gré, XXVI, 20.

Traîtres. Comment étaient punis chez les Germains, XXX, 19.

Tranquillité des citoyens. Comment les crimes qui la troublent doivent être punis, XII, 4.

Transmigration. Causes et effets de celles des différents peuples, XVIII, 3.

Transpiration. Son abondance, dans les pays chauds, y rend l’eau d’un usage admirable, XIV, 10.

Travail. On peut, par de bonnes lois, faire faire les travaux les plus rudes a des hommes libres, et les rendre heureux, XV, 8. Les pays qui, par leurs productions, fournissent du travail à un plus grand nombre d’hommes, sont plus peuplés que les autres, XXIII, 14. Est le moyen qu’un état bien policé emploie pour le soulagement des pauvres, XXIII, 29.

Trésors. Il n’y a jamais, dans une monarchie, que le prince qui puisse en avoir un, XX, 10. En les offrant a Dieu, nous prouvons que nous estimons les richesses, qu’il veut que nous méprisions, XXV, 7. Pourquoi, sous les rois de la première race, celui du roi était regardé comme nécessaire à la monarchie, XXX, 4.

Tribunal domestique. De qui il était composé à Rome. Quelles matières, quelles personnes étaient de sa compétence, et quelles peines il infligeait, VII, 10. Quand et pourquoi il fut aboli, VII, 11.

Tribunaux humains. Ne doivent pas se régler par les maximes des tribunaux qui regardent l’autre vie, XXVI, 11.

Tribuns des légions. En quels temps et par qui furent réglés, XI, 17.

Tribuns du peuple. Nécessaires dans une aristocratie, V, 8. Leur établissement fut le salut de la république romaine, V, 10. Occasion de leur établissement, XII, 21.

Tribunaux. Cas où l’on doit être obligé d’y recourir dans les monarchies, VI, 1. Ceux de judicature doivent être composés de beaucoup de personnes : pourquoi, VI, 6. Sur quoi est fondée la contradiction qui se trouve entre les conseils des princes et les tribunaux ordinaires, ibid. Quoiqu’ils ne soient pas fixes, dans un état libre, les jugements doivent l’être, XI, 6.

Tribus. Ce que c’était à Rome, et à qui elles donnèrent le plus d’autorité. Quand commencèrent à avoir lieu, XI, 14 et 16.

Tributs. Par qui doivent être levés dans une aristocratie, V, 8. Doivent être levés, dans une monarchie, de façon que le peuple ne soit point foulé de l’exécution, V, 9. Comment se levaient à Rome, XI, 19. Rapports de leur levée avec la liberté, Livre XIII. Sur quoi, et pour quels usages, doivent être levés, XIII, I. Leur grandeur n’est pas bonne par elle-même, ibid. Pourquoi un petit état, qui ne paie point de tributs, enclavé dans un grand qui en paie beaucoup, est plus misérable que le grand. Fausse conséquence que l’on a tirée de ce fait, XIII, 2. Quels tributs doivent payer les peuples esclaves de la glèbe, XIII, 3. Quels doivent être levés dans un pays où tous les particuliers sont citoyens, XIII, 7. Leur grandeur dépend de la nature du gouvernement, XIII, 10. Leur rapport avec la liberté, XIII, 12. Dans quels cas sont susceptibles d’augmentation, XIII, 13. Leur nature est relative au gouvernement, XIII, 14. Quand on abuse de la liberté pour les rendre excessifs, elle dégénère en servitude, et on est obligé de diminuer les tributs, XIII, 15. Leur rigueur, en Europe, n’a d’autre cause que la petitesse des vues des ministres, ibid. Causes de leur augmentation perpétuelle en Europe, ibid. Les tributs excessifs que levaient les empereurs, donnèrent lieu à cette étrange facilité que trouvèrent les mahométans dans leurs conquêtes, XIII, 16. Quand on est forcé de les remettre à une partie du peuple, la remise doit être absolue, et ne pas être rejetée sur le reste du peuple. L’usage contraire ruine le roi et l’état, XIII, 18. La redevance solidaire des tributs, entre les différents sujets du prince, est injuste et pernicieuse à l’état, ibid. Ceux qui ne sont qu’accidentels, et qui ne dépendent pas de l’industrie, sont une mauvaise sorte de richesse, XXI, 22. Les Francs n’en payaient aucun, dans les commencements de la monarchie. Traits d’histoire et passages qui le prouvent, XXX, 12. Les hommes libres, dans les commencements de la monarchie française, tant Romains que Gaulois, pour tout tribut, étaient chargés d’aller à la guerre à leurs dépens. Proportions dans lesquelles ils supportaient ces charges, XXX, 13. Voyez Impôts, Taxes.

Tributum. Ce que signifie ce mot dans les lois barbares, XXX, 14.

Triumvirs. Leur adresse à couvrir leur cruauté sous des sophismes, XII, 18. Réussirent, parce que, quoiqu’ils eussent l’autorité royale, ils n’en avaient pas le faste, XIX, 3.

Troies. Le synode qui s’y tint en 878, prouve que la loi des Romains et celle des Wisigoths existaient concurremment dans le pays des Wisigoths, XXVIII, 5.

Troupes. Leur augmentation, en Europe, est une maladie qui mine les états, XIII, 17. Est-il avantageux d’en avoir sur pied, en temps de paix comme en temps de guerre ? ibid. Pourquoi les Grecs et les Romains n’estimaient pas beaucoup celles de mer, XXI, 13.

Truste. Voyez In truste.

Turcs. Cause du despotisme affreux qui règne chez eux, XI, 6. N’ont aucune précaution contre la peste : pourquoi, XIV, 11. Le temps qu’ils prennent pour attaquer les Abyssins, prouve qu’on ne doit point décider par les principes de la religion ce qui est du ressort des lois naturelles, XXVI, 7. La première victoire, dans une guerre civile, est pour eux un jugement de Dieu qui décide, XXVIII, 17.

Turquie. Comment les successions y sont réglées : inconvénients de cet ordre, V, 14. Comment le prince s’y assure la couronne, ibid. Le despotisme en a banni les formalités de justice, VI. 2. La justice y est-elle mieux rendue qu’ailleurs ibid. Droits qu’on y lève pour les entrées des marchandises, XIII, 11. Les marchands n’y peuvent pas faire de grosses avances, XIII, 14.

Tutelle. Quand a commencé, en France, à être distinguée de la ballie ou garde, XVIII, 27. La jurisprudence romaine changea, sur cette matière, à mesure que les mœurs changèrent, XIX, 24. Les mœurs de la nation doivent déterminer les législateurs à préférer la mère au plus proche parent, ou le plus proche parent à la mère, ibid.

Tuteurs. Étaient les maîtres d’accepter ou de refuser le combat judiciaire, pour les affaires de leurs pupilles, XXVIII,25.

Tyr. Nature de son commerce, XX, 4. Dut son commerce à la violence et à la vexation, XX, 5. Ses colonies, ses établissements sur les côtes de l’Océan, XXI, 6. Était rivale de toute nation commerçante, XXI, 9.

Tyrans. Comment s’élèvent sur les ruines d’une république, VIII, 2. Sévérité avec laquelle les Grecs les punissaient, XII, 18.

Tyrannie. Les Romains se sont défaits de leurs tyrans, sans pouvoir secouer le joug de la tyrannie, III, 3. Ce que l’auteur entend par ce mot : routes par lesquelles elle parvient à ses fins, XIV, 13. Combien il y en a de sortes, XIX, 4.

Tyriens. Avantages qu’ils tiraient, pour leur commerce, de l’imperfection de la navigation des anciens, XXI, 6. Nature et étendue de leur commerce, ibid. Voyez Tyr.

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