L’achat d’esclaves
J’ai autant de confiance dans la finesse de votre vue que dans celle de votre jugement. Ce n’est pas que vous ayez beaucoup de flair (je ne veux pas vous donner trop bonne opinion de vous), mais vous en avez autant que moi, et c’est déjà bien beau. Plaisanterie à part, je trouve assez bonne mine aux esclaves qui m’ont été achetés sur vos indications ; il s’agit maintenant qu’ils soient honnêtes ; sur ce point il vaut mieux, quand on les achète, s’en rapporter à ses oreilles qu’à ses yeux. Adieu.