IV. – C. PLINE SALUE SON CHER MACRINUS.

Le long plaidoyer.

Je craindrais que vous ne trouviez trop long le plaidoyer que vous recevrez avec cette lettre, s’il n’était d’une composition telle qu’il semble commencer et finir plusieurs fois, car chaque grief forme comme une cause distincte. Vous pourrez donc, en quelqu’endroit que vous commenciez votre lecture, en quelqu’endroit que vous l’arrêtiez, la poursuivre comme si c’était un commencement ou comme si c’était une suite, et me juger très long dans l’ensemble et très bref dans chaque partie. Adieu.

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