L’échange d’éloges.
Si à vos éloges je réponds en entreprenant le vôtre, je crains qu’on ne regarde mes louanges moins comme l’expression de mon jugement que comme le témoignage de ma reconnaissance. Mais, dût-on le croire, je trouve tous vos écrits excellents, surtout pourtant ceux qui parlent de moi. La raison en est simple et unique. C’est que vous, quand vous écrivez sur vos amis, vous écrivez admirablement, et que moi, quand je lis ce que vous me consacrez, je le juge admirable. Adieu.