L’heureuse mémoire.
Votre lettre me montre avec quelle attention, avec quel soin, avec quelle mémoire enfin vous avez lu mes opuscules. C’est donc vous-même qui vous cherchez de l’embarras, en me priant et me sollicitant de consentir à vous en communiquer le plus grand nombre possible. Je le ferai, mais par fractions et comme par lots, afin que cette excellente mémoire, à laquelle je rends grâce, ne soit pas brouillée par la continuité et l’abondance de mes envois, et ne risque pas, surchargée et presque accablée, de sacrifier chaque ouvrage à tous les autres et les premiers reçus aux derniers. Adieu.