La recommandation fructueuse.
Vous avez bien fait d’accueillir de nouveau dans votre maison et dans votre affection, escorté de mes lettres, l’affranchi qui vous fut cher autrefois. Vous vous en féliciterez ; pour moi je m’en félicite, d’abord parce que je vous vois assez traitable pour vous laisser fléchir même dans la colère, ensuite parce que votre amitié pour moi va jusqu’à céder à mes conseils, ou plutôt à déférer à mes prières. Recevez donc mes éloges et mes remerciements. J’y joins pour l’avenir la recommandation d’avoir de l’indulgence pour les fautes de vos gens, même s’ils n’ont point d’intercesseur. Adieu.