XXXII. – C. PLINE SALUE SON CHER TITIANUS.

La vie oisive.

Que faites-vous ? Qu’allez-vous faire ? Moi, je mène la vie la plus délicieuse, c’est-à-dire la plus oisive. C’est pourquoi je ne voudrais pas écrire de longues lettres, mais je voudrais bien en lire ; l’un satisfait à mes goûts voluptueux, l’autre à mon oisiveté. Car rien n’est plus paresseux qu’un homme voluptueux, ni plus curieux qu’un homme oisif. Adieu.

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