XXXVIII. – C. PLINE SALUE SON CHER SATURNINUS.

Le livre de Rufus.

Oui certainement, je ferai l’éloge de notre cher Rufus, non parce que vous m’en avez prié, mais parce qu’il en est tout à fait digne. J’ai lu son livre parfait en tous points et auquel mon affection pour l’auteur a ajouté encore beaucoup de prix à mes yeux. Je l’ai jugé cependant ; car juger ce n’est pas seulement lire avec des intentions malignes. Adieu.

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