X. – C. PLINE SALUE SON CHER MACRINUS.

Fin du procès de Varenus et des Bithyniens.

Comme moi-même, quand j’ai su le début d’une histoire, je brûle d’y rattacher la fin, car il me semble qu’elle en a été arrachée, je suppose que vous désirez connaître la suite du procès de Varenus et des Bithyniens. La cause fut plaidée d’un côté par Polyenus, de l’autre par Magnus. Après les plaidoiries César dit : « Aucune des parties ne se plaindra d’un retard ; j’aurai soin de m’assurer des vœux de la province. » En attendant Varenus a obtenu un grand avantage. Il est en effet bien douteux que l’accusation contre lui soit fondée, puisqu’il n’est pas certain qu’il y ait seulement une accusation ! Il reste à souhaiter que la province n’approuve pas de nouveau le parti qu’elle a, dit-on, condamné et qu’elle ne se repente pas de son repentir. Adieu.

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