La terre de la nourrice de Pline.
Je vous remercie de vous être chargé de faire valoir la petite terre que j’ai donnée autrefois à ma nourrice. Elle était estimée, quand je la lui ai donnée, cent mille sesterces ; plus tard, le revenu diminuant, le fonds aussi a baissé de prix ; mais maintenant grâce à vos soins il reprendra sa première valeur. Souvenez-vous toutefois que je vous confie moins les arbres et la terre, quoique j’y tienne aussi, que le petit présent dont je suis l’auteur. Qu’il rapporte le plus possible cela n’importe pas plus à celle qui l’a reçu, qu’à moi, qui l’ai donné. Adieu.