IX. – C. PLINE SALUE SON CHER TACITE.

La protection assurée.

Vous me recommandez la candidature de Julius Naso . Me recommander Naso, à moi ? Pourquoi ne pas me recommander moi-même ? Je l’admets cependant et je vous pardonne, car je vous aurais adressé la même recommandation, si, vous étant à Rome, j’en eusse été absent. C’est le propre de l’inquiétude ; elle croit tout nécessaire. Cependant, je vous le conseille, sollicitez-en d’autres ; et moi, je seconderai, je soutiendrai vos instances, et je m’y associerai. Adieu.

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