SCÈNE III

FRANÇOIS DE MOOR, plongé dans une rêverie profonde.

Fuis, horrible image !… Fuis ! lâche cœur ! Pourquoi trembles-tu ? qui te fait trembler ?… Ne semble-t-il pas que ce comte est un espion des enfers qui s’attache à mes pas ? Je dois le connaître ! Il y a quelque chose de grand… de déjà vu dans ses traits sauvages, brunis par le soleil, qui me font frémir. (Il se promène, et enfin tire le cordon de la sonnette.) Holà ! François ! prends garde à toi, il y a là-dessous quelque monstre caché pour ta ruine.

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