Annexes et documents

Extrait du Journal Officiel du 11 mars 1901.

Arrêté et circulaire relatifs à la simplification de la syntaxe concernant le verbe du 26 février 1901.

Concordance ou correspondance des temps.

On tolérera le présent du subjonctif au lieu de l’imparfait dans les propositions subordonnées dépendant de propositions dont le verbe est au conditionnel présent. Ex. Il faudrait qu’il vienne ou qu’il vînt.

Rappel de la notule 111 . page Error: Reference source not found .

Note de l’auteur : Malheureusement, ils ont eu honte ! La première édition, malgré trois niveaux de corrections, a comporté de nombreuses coquilles suite à une erreur de transmission de support numérique entre la P. A. O. et l’imprimeur.

Lors du lancement du livre, des ouvrages « buggés » ont été envoyés aux divers services de presse et ce problème a considérablement nui à la promotion du livre.

Imaginez-vous la déception des personnes ayant participé à cette parution, notamment Jean Dutourd qui préfaça le livre…

Relisez la lettre de Michel Stevaert p. Error: Reference source not found.

Ce n’est pas fini !

Les ouvrages « buggés », destinés au pilon, retournant des librairies, ont été mélangés à ceux de la nouvelle édition avec aucun moyen de les différencier de manière automatisée, histoire de code-barres (de cocaïne ?), m’ont appris les héroïnes de Hatier !

Un livre qui est titré : « Le bar du subjonctif » et qui comporte un tel nombre de fautes ne pouvait décemment pas faire l’objet d’une promotion de la part des médias qui, pourtant, attendaient cet événement !

Dans un bar, fût-il du subjonctif, on a parfois tendance à abuser de boissons alcoolisées !

Tout cela est bien stupéfiant ! Que j’en cannabisasse (ou que j’en cannabisse !).

Il faudrait maintenant que je me tusse ! Merci à tous les corupsistes, cordialement et… subjonctivement vôtre,

Alain-Parfait

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