Avertissements

Léon Bloy : « On peut être un imbécile et pratiquer tout de même l’imparfait du subjonctif, cela s’est vu ! Mais la haine de l’imparfait du subjonctif ne peut exister que dans le cœur d’un imbécile »

Je ne suis malheureusement pas un écrivain, mais devant ce fatras de lettres, de documents et confronté à tous ces témoignages de sympathie, je me sens investi d’une mission et je me dois de mener à bien cette tâche que je ne peux déléguer !

Premier souci, fallait-il employer ici le passé simple et l’imparfait du subjonctif ?

Second souci, fallait-il corriger les fautes de nos correspondants ?

À tous ces sympathiques correspondants, merci pour votre collaboration et votre amitié !

À tous mes lecteurs, merci pour votre indulgence !

A. Bouissière

« Les remarques des fautes d’un ouvrage se feront avec modestie et civilité, et la correction en sera soufferte de la mesme sorte. »

« Statuts & Reglemens de l’Academie françoise » du 22 février 1635, art. XXXIV.

« Quant aux fautes qui se pourraient trouver en l’impression, comme de lettres transposées, omises, ou superflues, la première édition les excusera, et la discrétion du lecteur savant qui ne s’arrêtera à si petites choses. »

Joachim Du Bellay, Adresse au lecteur en postface de la « Deffence et Illustration de la langue francoyse », 1549.

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