À David d’Angers.

Paris, 3 août 1833.

J’arrive de la campagne, mon cher David, et je trouve tous les trésors de bronze que vous m’avez envoyés. C’est bien vous. Toujours grand artiste et toujours bon ami !

J’ai fait dans l’Europe littéraire il y a une vingtaine de jours, un petit article sur votre affaire avec Thiers. J’avais recommandé qu’on vous le fît tenir. L’a-t-on fait ?

Je vous serre la main.

Victor Hugo.

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