À Paul Meurice.

20 février [1846].

C’est du cœur que je vous remercie, cher poëte. Je croyais deviner, et je me taisais, comprenant les motifs de votre silence. Maintenant je sais, et je me tairai plus que jamais. Votre beau et noble esprit vous trahit, il est bien difficile de mettre un masque à ce qui rayonne. Comptez sur mon silence absolu comme sur ma profonde amitié.

Victor H.

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