À Théophile Gautier.


28 juillet [1847].

Vous croyez, ô Albertus, qu’il vous suffit d’écrire de ravissantes choses sur la Hollande et de charmantes choses pour moi, et que je n’ai plus rien à désirer. Mais non, je veux mon chat !

C’est cela ! vous vous en allez, et vous laissez une jolie femme en proie aux souris, et moi en proie à la jolie femme ! Je réclame mon chat !

Et, pour ses quatre griffes, je vous offre mes deux mains.

tuus.

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