De l’Assemblée, 1er juillet 1848.
Nous sommes tous sains et saufs, mon vénérable et cher ami ; Dieu n’a pas voulu de moi, car j’offrais ma vie avec joie pour arrêter cette funeste effusion du sang français.
Je vous écris à la hâte dans ce tourbillon qu’on appelle l’Assemblée. Ma femme embrasse tendrement la vôtre. Nous déménageons aujourd’hui. Écrivez-moi désormais, 5, rue d’Isly.
Je vous serre tendrement les deux mains.