À Ulric Güttinguer.

Paris, 15 mars 1848.

Cher Ulric, nos cœurs se comprennent à travers l’absence, et nos mains se serrent à travers l’espace.

Espérons, confions-nous. Le ciel est noir, mais il redeviendra rose. Comment douter du dénouement ? Il sera évidemment bon pour le genre humain tout entier ; espérons ! c’est Dieu qui fait la pièce et c’est la France qui joue le rôle.

Je vous envie vos arbres, votre mer et votre esprit.

Aimez-moi !

Victor.

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