À Auguste Vacquerie.

Cher Auguste, au lieu de vous serrer la main, je vous écris, c’est triste. Au lieu d’aller chercher le beau soleil que vous voyez et les beaux vers que vous faites, je tends ma gorge, non au fer de Calchas, mais au nitrate d’argent du docteur Louis. C’est hideux.

Pensez un peu à moi. Je ferai effort pour vous aller voir, j’en ai bien besoin et bien envie. Cependant M. Louis me dit d’attendre encore. Mais je m’échapperai, je l’espère. À vous — toujours et du fond du cœur.

V.

[2 7bre 1850.]

Tous mes respects à madame votre mère et à madame votre sœur.

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