À Hippolyte Lucas.

Bruxelles, 10 mars 1852.

Je suis heureux, cher ami, de ce charmant souvenir que vous m’envoyez. Vous voir serait, certes, plus charmant encore. Quand sera-ce possible ? Dieu le sait. Ne me plaignez pas, je remercie la destinée de tout ce qui se passe, et de tout ce qui se fait pour ou contre moi, pourvu que j’aie un peu de liberté, un peu de soleil, un peu de souvenir.

Votre ami.

V.Hugo.

Share on Twitter Share on Facebook