À Alfred Sirven.

Hauteville-House, 9 août [1864].

Votre Homme noir est terrible, et vous le racontez puissamment. Je vous félicite, monsieur, de ce livre. Votre nom vous engage envers Voltaire, et votre talent doit aide et concours à la grande œuvre commencée par cet esprit. La société actuelle a besoin des graves leçons de la libre-pensée. J’espère pour vous un beau succès.

Croyez à mes cordiales sympathies.

Victor Hugo.

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