H.-H., mardi 27 [février 1866].
Comme vous l’avez pressenti, mon cher M. Lacroix, la question d’argent n’est rien pour moi devant la question d’art. Les Travailleurs de la Mer ne peuvent être morcelés en feuilletons. Je décline à regret ces offres qui devenaient de plus en plus magnifiques. Ma famille vous communiquera la lettre de M. Millaud et ma réponse.
Vous vous êtes mépris, je n’ai pas parlé de dépôt, mais de prise de propriété. Vous n’avez pas pris propriété pour le William Shakespeare, pas plus que pour les Chansons des Rues et des Bois.
Pourquoi ?
À bientôt une lettre.
V. H.