À Albert Lacroix.

H.-H., 16 décembre [1866].

Mon cher monsieur Lacroix,

Au moment de terminer mon travail pour votre Paris, je compte les pages, et je m’aperçois que c’est presque une œuvre, et plus, beaucoup plus étendue que je ne croyais. Cela fera environ trois feuilles. Cela dépasse peut-être la somme que vous voulez y mettre. Or c’est un tout complet, qui aura un certain à-propos à cause des gros projets militaires du moment, et je n’en pourrais rien retrancher. (C’est une affirmation de la paix). Il m’importe donc de savoir si ces trois feuilles ne dépassent point votre programme, avant de continuer. N’en pouvant rien ôter, je serais forcé de renoncer au travail. Écrivez-moi le plus tôt possible. Ne m’envoyez aucune épreuve du livre, cela va sans dire, tant que la question n’est pas résolue. J’ai reçu hier une lettre on ne peut plus excellente de notre vaillant et cher ami Louis Ulbach. J’y répondrai quand vous m’aurez répondu et selon ce que vous m’aurez répondu.

Mille affectueux compliments.

Victor H..

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