À Monsieur Lozes-Préval.

H.-H., 18 octobre 1866.

J’ai été absent, et votre lettre me parvient seulement aujourd’hui. Vos vers sont un noble effort en faveur d’une noble cause qui est la cause même de l’humanité. Je vous remercie de vouloir bien me dédier cette scène pathétique, et j’en autorise, monsieur, dans les termes que vous m’indiquez, la représentation, à cette seule condition que le théâtre donnera aux pauvres ma part d’auteur, fixée comme vous et le directeur du théâtre le jugerez convenable.

Croyez à mes sympathies et à mes vœux sincères pour que votre succès égale votre talent.

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