À Paul Meurice.

Bruxelles, 24 septembre.

Les pourparlers ont eu lieu dans les meilleurs termes, avec complète adhésion aux divisions excellentes indiquées par vous. Il a paru qu’il serait Abon même d’en faire dans le livre trois faux-titres. Je me rallie à tout ce que vous trouvez vrai, et il me semble, tant c’est juste, que c’est ma propre pensée exprimée par vous. Il est évident qu’une de mes prédestinations était d’être votre ami, car c’est une espèce de loi pour moi de toujours approuver quand vous parlez, de même que de toujours applaudir quand vous écrivez. Je ne pourrais faire autrement. C’est ma nature qui est ainsi.

Envoyez-moi, dès que vous pourrez, la table, ou le tableau, du livre. Cela me sera utile pour ce que j’ai à écrire. J’ai promis cela pour le 15 décembre. Je vais repartir bientôt pour Guernesey. Quand vous reverrai-je ? Il est triste d’être absent de ce Paris que vous allez remplir cet hiver d’un bruit de gloire et de succès.

Je vous envoie les effusions de tous et de toutes.

À vous profondément.

V.

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