À George Sand.

H.-H., 21 avril.

Oui, je souffre, oui, j’espère. Le vôtre est revenu, le mien reviendra. Je le crois, je le sais. Votre lettre si tendre et si haute me donnerait la foi, si je ne l’avais pas. grande âme, je me réfugie en vous. Les paroles qui tombent de votre sommet de gloire sont douces comme la lumière.

Merci.

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