À Paul Meurice.

H.-H., dim. 25 [mars].

Vous avez fait une femme bien fière et bien heureuse. L’idée que c’est à elle que, dans votre pensée, vous allez adresser les messages de votre grand esprit, cela la transporte et l’attendrit. Cet attendrissement, je le partage. Vous êtes mon doux et charmant ami. Les attaques contre vous sont bien vaines. C’est jeter des pierres à la pure et sereine étoile de l’horizon.

J’ai écrit une page pour l’Espagne. La voici. Voulez-vous transmettre leur exemplaire à Auguste (est-il à Paris ?) et à Émile Allix (j’ignore sa nouvelle adresse). Noble penseur, doux combattant, fier et tendre esprit, je vous aime.

V.

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