à Paul Meurice.

H-H, 5 août. Cher Meurice, que n’êtes-vous là, vous et Auguste ! Que de choses à se dire qu’on ne peut s’écrire ! Votre noble et douce lettre nous a bien émus Charles et moi ; nous aussi, nous sommes tristes, et nous regardons avec anxiété l’approche de toutes ces ténèbres qu’on va appeler la gloire. le rappel tient admirablement son drapeau droit entre la patrie qui accepte la guerre et la liberté qui s’en défie. Vous êtes deux guides superbes dans ce passage difficile. Je suis avec vous du plus profond du cœur. Tout notre clan vous désire et vous embrasse. — à bientôt. con toda mi alma.

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