À Édouard Lockroy.

H.-H., 1er 7bre.

J’ai fait tout de suite, mon éloquent et cher confrère, ce que vous vouliez. J’ai écrit à Langlois, ce qui était, je crois, le meilleur parti à prendre. Il montrera ma lettre, qui est, je le pense, écrite de façon à rendre l’exécution de cette pauvre femme impossible. J’écrirais bien une chose publique, mais cela n’aurait-il pas plus d’inconvénient que d’avantage ? Je vous en fais juge.

Je travaille beaucoup ici, et je voudrais bien vous y voir. Venez donc. Victor arrive après-demain mardi. Quelle joie si vous y veniez ! Vous écrivez de bien belles pages dans le Rappel. Venez ! Je salue votre noble esprit.

V. H.

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