Hauteville-House, mardi 12 novembre 1867.
Mon vaillant confrère,
Vous voilà dehors, car, libre, vous l’avez toujours été. Plus on est à Mazas, plus on est dans la République. L’esprit s’affranchit d’autant plus qu’il a plus de verrous à sa porte. J’ignore si ma lettre vous parviendra, mais je tiens à vous envoyer, à vous et à vos généreux et éloquents compagnons de plume et de guerre, mon cordial serrement de main.
Applaudissement et bravo au jeune et brillant Corsaire.
Victor Hugo.