À Paul Huet.

[Juin 1867.]

Merci, cher Paul Huet. Mon vieux cœur est ému de votre souvenir ! Vous voyez que notre jeunesse avait raison. Quant à vous, vous l’avez prouvé par toutes les belles œuvres qui font aujourd’hui votre renommée. Je vous ai suivi du regard dans votre ascension de succès en succès. Aujourd’hui je suis heureux de retrouver toute jeune votre vieille amitié.

J’embrasse vos chers fils et je vous serre la main.

Victor Hugo.

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