À Paul Meurice.

Hauteville-House, 20 juin.

La France, vous le savez, a trouvé mon silence regrettable et m’a sollicité pour Maximilien. La Guéronnière, c’est presque l’empereur. Donc j’ai écrit à Juarez. Voici ma lettre. La communication est pour Auguste en même temps que pour vous. Mais voici, mon doux frère, ce que je vous demande. Avez-vous le temps de voir M. de Girardin, de lui porter la chose, et de lui demander s’il croit pouvoir publier cela, en faisant des retranchements et avec des lignes de points. Le tout est évidemment impossible. Faites pour le mieux. Moi, je vous aime.

V.

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