L HENREICH À HÉLÈNE.

Comment ! vous que je n’appelle plus ma sœur, poussez-vous la dégradation du cœur au point de laisser mourir votre mère de faim ? Ne devriez-vous pas être trop heureuse qu’elle veuille oublier la source impure de vos secours ?

J’ai reçu une lettre d’elle ; j’ai pleuré ; je lui ai envoyé ma montre et le peu d’argent que mes amis ont pu me prêter.

Je ne voulais plus m’occuper de vous ; mais je désire que cette lettre vous fasse répandre quelques larmes au milieu de votre infâme splendeur. C’est encore du bien que je veux vous faire.

HENREICH.

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