G

Gabelles. Celles qui sont établies eu France sont injustes et funestes, XIII, 8.

Gages de bataille. Quand ils étaient reçus, on ne pouvait faire la paix sans le consentement du seigneur, XXVIII, 24 et 25.

Crains nuptiaux. Quels doivent être ceux des femmes, dans les différents gouvernements, VII, 15.

Galanterie. Dans quels sens est permise dans une monarchie, IV, 2. Suites facheuses qu’elle entraîne, VII, 8 et 9. D’où elle tire sa source ; ce que ce n’est point ; ce que c’est ; comment s’est accrue, XXVIII, 22. Origine de celle de nos chevaliers errants, ibid. Pourquoi celle de nos chevaliers ne s’est point introduite à Rome ni dans la Grèce, ibid. Tira une grande importance des tournois, ibid.

Gange. C’est une doctrine pernicieuse, que celle des Indiens, qui croient que les eaux de ce fleuve sanctifient ceux qui meurent sur ses bords, XXIV, 14.

Gantois. Punis pour avoir mal à propos appelé de défaute de droit le comte de Flandre, XXVIII, 28.

Garçons. Sont moins portés pour le mariage que les filles ; pourquoi, XXIII, 9. Leur nombre, relatif à celui des filles, influe beaucoup sur la propagation, XXIII, 12.

Garde-noble. Son origine, XXI, 33.

Gardiens des mœurs, Gardiens des lois à Athènes, V, 7.

Gaules. Pourquoi les vignes y furent arrachées parDomitien et replantées par Julien, XXI, 15. Étaient pleines de petits peuples, et regorgeaient d’habitants, avant les Romains, XXIII, 18. Ont été conquises par des peuples de la Germanie, desquels les Français tirent leur origine, XXX, 2, 5, 6.

Gaule méridionale. Les lois romaines y subsistèrent toujours, quoique proscrites par les Wisigoths, XXVIII, 7.

Gaulois. Le commerce corrompit leurs mœurs, XX, 2. Quelles étaient leurs charges dans la monarchie des Francs, XXX, 13. Ceux qui, sous la domination Française, étaient libres, marchaient à la guerre sous les comtes, XXX, 17.

Gazetier ecclésiastique. Voyez Nouvelle ecclésiastique.

GÉLON. Beau traité de paix qu’il fit avec les Carthaginois, X, 5.

Gênes. Comment le peuple a part au gouvernement de cette république, II, 3. Édit par lequel cette république corrige ce qu’il y avait de vicieux dans son droit politique et civil, à l’égard de l’île de Corse, X, 8.

Genève. Belle loi de cette république touchant le commerce, XX, 16.

GENGISKAN. S’il eût été chrétien, il n’eût pas été si cruel, XXIV, 3. Pourquoi, approuvant tous les dogmes mahométans, il méprisa si fort les mosquées, XXV, 3. Fait fouler l’Alcoran aux pieds de ses chevaux, ibid. Trouvait le voyage de la Mecque absurde, ibid.

Gentilshommes. La destruction des hôpitaux, en Angleterre, les a tirés de la paresse où ils vivaient, XXIII, 29. Comment se battaient en combat judiciaire, XXVIII, 20. Comment contre un vilain, XXVIII, 24. Vidaient leur différends par la guerre ; et leurs guerres se terminaient souvent par un combat judiciaire, XXVIII, 25.

GEOFROY, duc de Bretagne. Son assise est la source de la coutume de cette province, XXVIII, 45.

Germains. C’est d’eux que les Francs tirent leur origine, VI, 18. Ne connaissaient guère d’autres peines que les pécuniaires, ibid. Les femmes étaient, chez eux, dans une perpétuelle tutelle, VII, 12. Simplicité singulière de leurs lois en matière d’insultes faites tant aux hommes qu’aux femmes ; cette simplicité provenait du climat, XIV, 14. Ceux qui ont changé de climat, ont changé de lois et de mœurs, ibid. Quelle sorte d’esclaves ils avaient, XV, 10. Loi civile de ces peuples, qui est la source de ce que nous appelons loi salique, XVIII, 22. Ce que c’était, chez eux, que la maison et la terre de la maison, ibid. Quel était leur patrimoine, et pourquoi il n’appartenait qu’aux mâles, ibid. Ordre bizarre dans leurs successions ; raisons et source de cette bizarrerie, ibid. Gradation bizarre qu’ils mettaient dans leur attachement pour leurs parents, ibid. Comment punissaient l’homicide, ibid. Étaient le seul peuple barbare où l’on n’eût qu’une femme ; les grands en avaient plusieurs, XVIII,24. Austérité de leurs mœurs, XVIII, 25. Ne faisaient aucune affaire publique ni particulière sans être armés, XVIII, 26. A quel âge, eux et leurs rois, étaient majeurs, ibid. On ne parvenait, chez eux, à la royauté, qu’après la majorité ; inconvénients qui firent changer cet usage ; et de ce changement naquit la différence entre la tutelle et la baillie ou garde, XVIII, 27. L’adoption se faisait chez eux par les armes, XVIII, 28. Étaient fort libres ; pourquoi, XVIII, 30. Pourquoi le tribunal de Varus leur parut insupportable, XIX, 2. Combien ils étaient hospitaliers, XX, 2. Comment punissoient les crimes. La monnaie, chez eux, devenait bétail, marchandise ou denrée ; et ces choses devenaient monnaie, XXII, 2. N’exposaient point leurs enfants, XXIII, 22. Leurs inimitiés, quoique héréditaires, n’étaient point éternelles : les prêtres avaient vraisemblablement beaucoup de part aux réconciliations, XXIV, 17. Différents caractères de leurs lois, XXVIII, 1. Étaient divisés en plusieurs nations qui n’avaient qu’un même territoire ; et chacune de ces nations, quoique confondue, avait ses lois, XXVIII, 2. Avaent l’esprit des lois personnelles,avant leurs conquêtes, et le conservèrent après, ibid. Quand rédigèrent leurs usages par écrit, pour en faire des codes, XXVIII, 11. Esquisse de leurs mœurs ; c’est dans ces mœurs que l’on trouve les raisons de ces preuves que nos pères employaient par le fer ardent, l’eau bouillante, et le combat singulier, XXVIII, 17. La façon dont ils terminaient leurs guerres intestines est l’origine du combat judiciaire, ibid. Leurs maximes sur les outrages, XXVIII, 20. C’était, chez eux. une grande infamie d’avoir abandonné son bouclier dans le combat, XXVIII, 21. C’est d’eux que sont sortis les peuples qui conquirent l’empire romain ; c’est dans leurs mœurs qu’il faut chercher les sources des lois féodales, XXX, 2. C’est dans leur façon de se nourrir, dans la variation de leurs possessions, et dans l’usage où étaient les princes de se faire suivre par une troupe de gens attachés à eux, qu’il faut chercher l’origine du vasselage, XXX, 3. Il y avait, chez eux, des vassaux ; mais il n’y avait point de fiefs ; ou plutôt les fiefs étaient des chevaux de bataille, des armes et des repas, ibid. Leur vie était presque toute pastorale : c’est de là que presque toutes les lois barbares roulent sur les troupeaux, XXX, 6. Il est impossible d’entrer un peu avant dans notre droit politique, si l’on ne connaît les lois et les mœurs des Germains ; XXX, 19. Ce qui les a arrachés à l’état de nature où ils semblaient être encore du temps de Tacite, ibid. Pourquoi, étant si pauvres, ils avaient tant de peines pécuniaires, ibid. Entendaient, par rendre la justice, protéger le coupable contre la vengeance de l’offensé, XXX, 20. Comment punissaient les meurtres involontaires, ibid. C’est dans leurs mœurs qu’il faut chercher la source des maires du palais, et de la faiblesse des rois, XXXI, 4.

Germanie. Est le berceau des Francs, des Ripuaires et des Saxons, XVIII, 22. Était pleine de petits peuples, et regorgeait d’habitants avant les Romains, XXIII, 18. Fut reconquise par les Francs, après qu’ils en furent sortis, XXVIII, 1.

Glèbe (Servitude de la). Quelle en est, la plupart du temps, l’origine, XIII, 3. N’a point été établie par les Francs entrant dans la Gaule, XXX, 5. Établie dans la Gaule, avant l’arrivée des Bourguignons ; conséquences que l’auteur tire de ce fait, XXX, 10.

Gloire. Celle du prince est son orgueil ; elle ne doit jamais être le motif d’aucune guerre, X, 2.

Gloire ou magnanimité. Il n’y en a ni dans un despote, ni dans ses sujets, V, 12.

Gnide. Vice dans son gouvernement, XI, 6.

Goa. Noirceur horrible du caractère des habitants de ce pays, XVI, 11.

GONDEBAUD. Loi injuste de ce roi de Bourgogne, XXVI, 4. Est un de ceux qui recueillirent les lois des Bourguignons, XXVIII, 1. Caractère de sa loi ; son objet, pour qui elle fut faite, XXVIII, 4. Sa loi subsista longtemps chez les Bourguignons, XXVIII, 5. Fameuses dispositions de ce prince, qui ôtaient le serment des mains d’un homme qui en voulait abuser, XXVIII, 15. Raison qu’il allègue pour substituer le combat singulier à la preuve par serment, XXVIII, 17. Loi de ce prince qui permet aux accusés d’appeler au combat les témoins que l’on produisait contre eux, XXVIII, 26.

GONTRAN. Comment adopta Childebert, XVIII, 28.

Goths. Leur exemple, lors de la conquête d’Espagne, prouve que les esclaves armés ne sont pas si dangereux dans une monarchie, XV, 14. La vertu faisait, chez eux, la majorité, XVIII, 26. Comment le droit romain se conserva dans les pays de leur domination et de celle des Bourguignons, et se perdit dans le domaine des Francs, XXVIII, 4. La loi salique ne fut jamais reçue chez eux, ibid. La prohibition de leur mariage avec les Romains fut levée par Recessuinde ; pourquoi, XXVIII, 7. Persécutés, dans la Gaule méridionale, par les Sarrasins, se rétirèrent en Espagne ; effets que cette émigration produisit dans leurs lois, ibid.

Goût. Se forme, dans une nation, par l’inconstance même de cette nation, XIX, 8. Naît de la vanité, XIX, 9.

Gouvernement. Il y en a de trois sortes : quelle est la nature de chacune, II, 1. Exemple d’un pape qui abandonna le gouvernement à un ministre, et trouva que rien n’était si aisé que de gouverner, II, 5. Différence entre sa nature et son principe, III, 1. Quels en sont les divers principes, III, 2. Ce qui le rend imparfait, III, 11. Ne se conserve qu’autant qu’on l’aime, IV, 5. Sa corruption commence presque toujours par celle des principes, Livre VIII. Quelles sont les révolutions qu’il peut essuyer sans inconvénient, VIII, 8. Suites funestes de la corruption de son principe, VIII, 11. Quand le principe en est bon, les lois qui semblent le moins conformes aux vraies règles et aux bonnes mœurs, y sont bonnes ; exemples, ibid. Le moindre changement dans sa constitution entraîne la ruine des principes, VIII, 11. Cas où, de libre et de modéré qu’il était, il devient militaire, XI, 6. Liaison du gouvernement domestique avec le politique, XVI, 9. Ses maximes gouvernent les hommes concurremment avec le climat, la religion, les lois, etc. ; de là nait l’esprit général d’une nation, XIX, 4. Sa dureté est un obstacle à la propagation, XXIII, 11.

Gouvernement d’un seul. Ne dérive point du gouvernement paternel, I, 3.

Gouvernement gothique. Son origine, ses défauts ; est la source des bons gouvernements que nous connaissons, XI, 8.

Gouvernement militaire. Les empereurs qui l’avaient établi, sentant qu’il ne leur était pas moins funeste qu’aux sujets, cherchèrent à le tempérer, VI, 15.

Gouvernement modéré. Combien est difficile à former, V, 14. Le tribut qui y est le plus naturel, est l’impôt sur les marchandises, XIII, 14. Convient dans les pays formés par l’industrie des hommes, XVIII, 6. Voyez Monarchie, République.

Gouverneurs des provinces romaines. Leur pouvoir ; leurs injustices, XI, 19.

GRACCHUS TIBERIS.U Coup mortel qu’il porte à l’autorité du sénat, XI, 18.

Grâce. On ne peut pas demander, en Perse, celle d’un homme que le roi a une fois condamné, III, 10. Le droit de la faire aux coupables est le plus bel attribut de la souveraineté d’un monarque, il ne doit donc pas être leur juge, VI, 5.

Grâce (lettres de). Sont un grand ressort dans un gouvernement modéré, VI, 10.

Grâce (la). L’auteur de l’Esprit des lois était-il obligé d’en parler ? D. I, II, neuvième objection.

Gradués. Les deux, dont le juge est obligé de se faire assister dans les cas qui peuvent mériter une peine afflictive, représentent les anciens prud’hommes qu’il était obligé de consulter, XXVIII, 42.

Grandeur réelle des états. Pour l’augmenter, il ne faut pas diminuer la grandeur relative, IX, 9.

Grandeur relative des états. Pour la conserver, il ne faut pas écraser un état voisin qui est dans la décadence, IX, 10.

Grands. Leur situation dans les états despotiques,III, 9. Comment doivent être punis dans une monarchie, VI, 21.

GRAVINA. Comment définit l’état civil, I, 3.

Gravion. Ses fonctions étaient les mêmes que celles du comte et du centenier, XXX, 18.

Grèce. Combien elle renfermait de sortes de républiques, V, 6. Par quel usage on y avait prévenu le luxe des richesses, si pernicieux dans les républiques, VII, 3. Pourquoi les femmes y étaient si sages, VII, 9. Son gouvernement fédératif est ce qui la fit fleurir si longtemps, IX, 1. Ce qui fut cause de sa perte, IX, 2. On n’y pouvait souffrir le gouvernement d’un seul, XVIII, 1. Belle description de ses richesses, de son commerce, de ses arts, de sa réputation, des biens qu’elle recevait de l’univers, et de ceux qu’elle lui faisait, XXI, 7. Était pleine de petits peuples, et regorgeait d’habitants, avant les Romains, XXIII, 18. Pourquoi la galanterie de chevalerie ne s’y est point introduite, XXVIII, 22. Sa constitution demandait que l’on punit ceux qui ne prenaient pas de parti dans les séditions, XXIX, 3. Vice dans son droit des gens : il était abominable, et était la source de lois abominables : XXIX, 14. On n’y punissait pas le suicide par les même motifs qu’à Rome, XXIX, 9 On y punissait le recéleur comme le voleur : cela était juste en Grèce ; cela est injuste en France ; pourquoi, XXIX, 12.

Grecs. Leurs politiques avaient des idées bien plus nettes sur le principe de la démocratie que ceux d’aujourd’hui, III. 3. Combien ont fait d’efforts pour diriger l’éducation du côté de la vertu, IV, 6. Regardaient le commerce comme indigne d’un citoyen, IV, 8. La nature de leurs occupations leur rendait la musique nécessaire, ibid. La crainte des Perses maintint leurs lois, VIII, 5. Pourquoi se croyaient libres du temps de Cicéron, XI, 2. Quel était leur gouvernement dans les temps héroïques, XI, 11. Ne surent jamais quelle est la vraie fonction du prince : cette ignorance leur fit chasser tous leurs rois, ibid. Ce qu’ils appellaient police, ibid. Combien il fallait de voix, chez eux, pour condamner un accusé, XII, 3. D’où venait leur penchant pour le crime contre nature, XII, 6. La trop grande sévérité avec laquelle ils punissaient les tyrans occasionna, chez eux, beaucoup de révolutions, XII, 18. La lèpre leur était inconnue, XIV, 11. Loi sage qu’ils avaient établie en faveur des esclaves, XV, 17. Pourquoi leurs navires allaient plus vite que ceux des Indes, XXI, 6. Leur commerce avant et depuis Alexandre, XXI, 7, 8 et 1. — avant Homère, XXI, 7. Pourquoi firent le commerce des Indes avant les Perses, qui en étaient bien plus à portée, XXI, 8. Leur commerce aux Indes n’était pas si étendu, mais plus facile que le nôtre, XXI, 9. Leurs colonies, XXI, 12. Pourquoi estimaient plus les troupes de terre que celles de mer, XXI, 13. Loi qu’ils imposèrent aux Perses, XXI, 21. Leurs différentes constitutions sur la propagation, suivant le plus grand ou le plus petit nombre d’habitants, XXIII, 17. N’auraient pas commis les massacres et les ravages qu’on leur reproche, s’ils eussent été chrétiens, XXIV, 3. Leurs pré tres d’Apollon jouissaient d’une paix éternelle : sagesse de ce règlement religieux, XXIV, 16. Comment, dans le temps de leur barbarie, ils employèrent la religion pour arrêter les meurtres, XXIV, 18. L’idée des asiles devait leur venir plus naturellement qu’aux autres peuples ; ils restreignirent d’abord l’usage qu’ils en firent dans de justes bornes ; mais ils les laissèrent devenir abusifs et pernicieux, XXV, 3.

GRIMOALD.Ajouta de nouvelles lois à celles des Lombards, XXVIII, 1.

Guèbres. Leur religion est favorable à la propagation, XXIII, 21. Leur religion rendit autrefois le royaume de Perse florissant, parce qu’elle n’est point contemplative ; celle de Mahomet l’a détruit, XXIV, 11. Leur religion ne pouvait convenir que dans la Perse, XXIV, 26.

Guerre. Quel en est l’objet, I, 3. On ne doit point en entreprendre de lointaines, IX, 8. Dans quel cas on a droit de la faire : d’où dérive ce droit, X, 2. Donne-t-elle droit de tuer les captifs ? XV, 2. C’est le christianisme qui l’a purgée de presque toutes les cruautés, XXIV, 3. Comme la religion peut en adourcir les fureurs, XXIV, 16. Était souvent terminée par le combat judiciaire , XXVIII, 25. Avait souvent, autrefois, pour motif la violation du droit politique, comme celles d’aujourd’hui ont pour cause ou pour prétexte celle du droit des gens, XXVIII, 28. Tout le monde, du temps de Charlemagne, était obligé d’y aller, XXXI, 27.

Guerre civile. N’est pas toujours suivie de révolutions, V, 11. Celles qui ravagèrent les Gaules, après la conquête des barbares, sont la principale source de la servitude de la glèbe et des fiefs, XXX, 11.

Guerre (état de). Comment les nations se sont trouvées en état de guerre, I, 3. Comment les particuliers sont parvenus à être en état de guerre les uns vis-à-vis des autres, ibid. Est la source des lois humaines, ibid.

Guinée. Cause de l’extrême lubricité des femmes de ce pays, XVI, 10.

Gymnastique. Ce que c’était ; combien il y en avait de sortes ; pourquoi, de très-utiles qu’étaient d’abord ces exercices, ils devinrent, dans la suite, funestes aux mœurs, VIII, 11.

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