À Alphonse Karr, à Sainte-Adresse.

Paris, 18 septembre 1843.

Vous m’avez fait pleurer dans ce moment horrible ; vous m’avez déchiré et soulagé ; merci, cher et noble Alphonse Karr. Vous avez un grand cœur ; vous avez bien parlé d’elle et de lui. Ma pauvre fille bien-aimée ! vous figurez-vous cela que je ne la verrai plus ?

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