Ode neuvième. L’Âme.

Je ne sais quel destin trouble l’esprit des mortels ; semblables à des cylindres, ils roulent çà et là, accablés d’une infinité de maux… Mais prends courage, la race des hommes est divine ; lorsque, dépouillé de ton corps, tu t’élèveras dans les régions éthérées, la mort n’aura plus sur toi de pouvoir, tu seras un dieu immortel et incorruptible.

Vers dorés de Pythagore.

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